Erreur lors du chargement des scripts, vérifiez votre connexion internet et rechargez la page, si le problÚme persiste changez de navigateur peut régler le problÚme.
Loading...
Estella est une jeune fille de premiĂšre du lycĂ©e RouviĂšre. Intelligente et peureuse elle est l’intello de la classe, la fille qui reste dans son coin sans faire de bruit. Cette fille a l’air d’ĂȘtre heureuse dans sa vie mais une histoire dramatique se cache derriĂšre elle. A l’ñge de 6ans, elle fut abandonnĂ©e par ses parents et a Ă©tĂ© envoyĂ©e dans une famille d’accueil.
( 0% de mots trouvés)
Comme tous les
_____
elle prend la ligne 9 direction le lycée, la musique à fond dans les oreilles elle
_____
du bus et passe le portail d’entrĂ©e.
_____
en main elle se dirige vers la
_____
pour la dĂ©poser et la. rĂ©cupĂ©rer avant d’aller Ă 
_____
le soir.

En attendant son 1er cours elle se promĂšne dans le lycĂ©e et est attirĂ©e par une affiche orange oĂč il est marquĂ© au feutre noir :

SoirĂ©e d’halloween sur invitation, le 31 Ă  19h00. Venez dĂ©guisĂ© 😃

Une soirĂ©e au lycĂ©e est organisĂ©e pour fĂȘter Halloween. Dommage pour elle que ce soit sur invitation, car elle pense qu'elle ne sera pas invitĂ©e.

La cloche sonne donc elle se dirige vers son premier cours, Italien.
Elle arrive dans la classe et s’assoit au premier rang. 30 min plus tard le cours est interrompu par les organisateurs de la fĂȘte, ils distribuent les enveloppes et, Ă  son grand Ă©tonnement elle en reçoit une aussi.
Je suis invitée à la soirée, moi la fille que personne ne voit

La journée se passe sans aucune autre interruption. Elle reprend sa valise et part en direction de sa chambre. Elle a du mal à faire ses devoirs ce soir-là.
Comment cette soirée va se passer ? Quel déguisement vais-je porter ? SorciÚre
 Zombie
 Bon assez travaillé pour ce soir, manger puis au lit.
Le lendemain matin, il est 6h30, son réveil sonne.
sonne.

Cette nuit a Ă©tĂ© merveilleuse, mĂȘme si je n’ai pas dormi, tellement j’ai pensĂ© Ă  la soirĂ©e.
Elle s’habille, met ses chaussures et part de la chambre pour prendre son petit-dĂ©jeuner. Apres avoir fini, elle remonte, fait son lit et sort de la chambre, son sac sur le dos en direction des cours.
C’est enfin arriver, ce soir c’est halloween et mon dĂ©guisement est prĂšs pour la soirĂ©e.
Cette journĂ©e, Estela n’est pas Ă  fond dans les cours. Elle n’arrĂȘte pas de penser Ă  ce soir.
Ce soir serait l’occasion de faire de nouvelles rencontres et de s’amuser.
AprĂšs cette journĂ©e interminable, elle entre dans sa chambre et fait sa routine du soir. Yes ! Il est enfin l’heure de se prĂ©parer pour la fĂȘte de ce soir.
Elle s’habille, se coiffe, se maquille et fais quelques petites retouches.
Tiens qu’elle heure est-il ? 20h30 ! Je vais rater la fĂȘte si ça continue, il est temps d’y aller.
20h40. Ça va on dirait que je n'ai rien ratĂ©.

Estela danse, s’amuse et se trouve mĂȘme quelqu’un pour passer la soirĂ©e. Il s’appelle Melvin et malgrĂ© son handicap, Estela le trouve sympathique.
Il est 21h00. Tout d’un coup, la lumiĂšre et un coup de feu se fait entendre dans la salle. Tout le monde cri et panique dans tous les sens, les uns aprĂšs les autres, les Ă©lĂšves s'Ă©chappent un par un.
Quand c’est au tour d’Estela, les lumiùres s’allument. Et là, tout le monde remarque le prof de SES par terre, immobile.
Le prof est mort.
Sans rĂ©flĂ©chir je m’enfuis de la salle et part vers un autre bĂątiment.
Je cours et essaye d’oublier ce qui vient de se passer. Je prends la porte de sortie et me retrouve dans une salle avec plein de miroir sur les murs.
Cette piĂšce est trĂšs bizarre, pourquoi tant de miroir ? Et au milieu une table avec une chaise. Je me demande vraiment Ă  quoi sert cette salle...
Il faut que j’arrĂȘte de faire ma curieuse... j’ai un autre but, sortir de ce lycĂ©e. Je cherche la porte mais elle a disparu. Un miroir a apparu Ă  sa place.
Je commence Ă  paniquĂ©, jusqu’à qu'une voix de petit garçon fait son entrĂ©e ...
« Salut, vas-tu tenir pendant 2 heures dans cette salle, en te regardant toi et seulement toi ! Sinon tu sais ce qui arrivera. »
Pendant 2 heures rester dans cette salle plein de miroir, impossible, il faut que je trouve un moyen de sortir. Alors, je cherche un moyen de sortir d’ici.
Je n'ai trouvĂ© aucun moyen. Je dĂ©cide donc de m’asseoir sur la chaise et d'attendre. Mais je n’aime pas cette ambiance stressante ... Je me reflĂšte dans tous les miroirs de la salle !
Je dĂ©teste ça. Alors, apeurĂ©e, je mets ma tĂȘte dans mes bras et essaye de ne pas regarder autour de moi.
Pourtant je continue Ă  regarder tous mes reflets et m’énerve de plus en plus. Pourquoi je suis lĂ  !?
Je veux sortir ! Je n'en peux plus d’ĂȘtre ici, libĂ©rez moi !! Mais aucune rĂ©ponse, la voix que j’ai entendue ne fait pas rĂ©apparition.
Ce n’est pas possible, il faut que je sorte d’ici !
D’un coup une idĂ©e me parvient. Et si je cassĂ© un des miroirs pour me faire une sortie. Il faudrait que j’utilise la chaise ou la table.
Alors je prends la table mais ... Impossible, elle est comme clouĂ©e au sol. Plus qu’une seule option, la chaise. Je prends la chaise qui, celle-ci, se laisse se soulever et la jette contre le miroir qui se brise en mille morceaux.
Je peux enfin partir de cette salle dont j’étais faite prisonniĂšre. Je sors alors de la salle et me rends compte que cette piĂšce est partagĂ©e en deux. Ainsi j’ouvre la porte de cette salle, et m’enfuit vers la salle de bal, sans me poser de questions.
Sept heures du matin Ă  l’aube, le bus arrive, dĂ©pose la foule habituelle devant le lycĂ©e oĂč elle va passer la journĂ©e. Elle est lĂ , cette personne que nous allons suivre son nom est sans extravagance montrant sa simplicitĂ©. Sa posture, son visage expriment aussi sa banalitĂ©. Son nom est Tom.
Il croit que c’est Crystale, ça fait longtemps qu’il ne l’a pas vue, ils Ă©taient dans la mĂȘme classe une annĂ©e. Puis automatiquement il dit « Pardon est-ce que ça va ? » Elle ne rĂ©pond pas. « Crystale ? » Elle rĂ©pond « Oui, ça va, un peu mal Ă  l’épaule, mais ça va. » Elle se relĂšve avec douleur puis il dĂ©cide de l’emmener s’assoir. Puis, ne sachant pas quoi faire, il reste avec Crystale toute la soirĂ©e. Il voit les gens s’amuser, parler entre eux, la nourriture, les boissons et se demande s’il a sa place ici. Il se met dans un coin et regarde en pensant ce qu’il pourrait faire puis regarde l’heure : 21H.
D’un coup, une foule court vers la porte de sortie ; ne sachant pas ce qu’il se passe, il regarde autour de lui et voit Crystale partir dans la foule. Il se demande s’il ne ferait pas de mĂȘme. Alors lui aussi s’incruste dans la foule. Mais une fois dehors, il voit que Crystale s’éloigne, direction l’administration.
Il se demande ce qu’elle va faire et dĂ©cide de la suivre. Une fois derriĂšre elle, il la suit et fait gaffe Ă  ne pas se faire repĂ©rer. Il arrive devant le bureau du proviseur mais quand il rentre, il voit Crystale sauter par la fenĂȘtre et les volets automatiquement se ferment. Il n’a rien Ă  faire ici.
Il fait demi-tour jusqu’à la porte pour se rendre compte qu’elle aussi s’est fermĂ©e.
Il essaie de toutes ses forces de l’ouvrir mais en vain. Ça fait longtemps qu’il n’était pas coincĂ© dans une aussi petite piĂšce. Il dĂ©teste ça ; cela lui donne l’impression qu’il ne pourra jamais sortir. L’angoisse prend le dessus et il se rĂ©fugie au milieu de la piĂšce sous le bureau. Mais Ă  peine engagĂ©, les murs se rapprochent de lui. Il s’assoit, la boule au ventre et se concentre pour arrĂȘter de paniquer. Impossible, les murs se rapprochent de plus en plus, il arrive Ă  peine Ă  resp..ir..e..r. Il ferme les yeux pour ne plus voir et se concentre sur sa respiration, mais trop tard

Comme tout les jours, Crystale se réveille vers les

du matin.
Elle prend son bol de cĂ©rĂ©ales, s’équipe de son bonnet ainsi que de son sac et part prendre son bus.
Cliquez sur le BUS pour continuer
Sa journée se passe de façon banale mais dans les alentours de

elle trouve une lettre dans son sac l’invitant Ă  rejoindre la soirĂ©e d'halloween pour 19h30.

Tu es invitĂ© Ă  la soirĂ©e d’halloween !!


c'est ce soir Ă  19h30.

Il y aura buffet et boisson à volonté :)

Je te conseille de venir dĂ©guiser mĂȘme si ce n’est pas obligatoire ^^

Elle finit les cours à 17h et en rentrant, elle s'affale sur son pc et regarde des vidéos sur YouTube.
AprÚs plusieurs vidéos, elle regarde l'heure et voit qu'elle est en retard. Elle prend son bonnet d'halloween et file prendre le bus.
Crystale arrive donc au lycée à

J’arrive Ă  19h45. Mon bonnet fantaisie sur la tĂȘte...
Pourquoi suis-je venue ? Bon, maintenant qu’on y est, autant restĂ©. La salle de fĂȘte est Ă  moitiĂ© pleine. Je sens que je ne vais pas m’amuser donc je dĂ©cide de rentrer avec mon pc bien cachĂ© dans mon sac. Je me mets Ă  l’écart des gens et le sort. Quand soudain, un professeur me voit, s’approche de moi et me confisque mon ordi pour que je « m’amuse » dit-il. Cette soirĂ©e commence vraiment mal. Je le vois le donner au directeur qui s’en va, je pense, en direction de son bureau. Je commence Ă  le suivre, quand quelqu’un me bouscule devant la salle.Je tombe assez violement sur l’épaule droite.
« Pardon, est-ce que ça va ? », je crois connaitre cette voix.
« Crystale ? » oui je la connais cette voix, c’est Tom, je crois qu’on Ă©tait dĂ©jĂ  dans la mĂȘme classe. Je rĂ©ponds
« oui, ça va, un peu mal Ă  l’épaule, mais ça va »
Malheureusement, le proviseur était déjà revenu alors je me relÚve avec ma main gauche car mon épaule droite me fait trop mal.
Tom me propose de m’assoir, je n’ai pas besoin de lui pour aller m’assoir. De retour Ă  l’intĂ©rieur, je passe ma soirĂ©e avec Tom, un vrai pot de colle, mais plutĂŽt sympa. PrĂšs de 21h00, je dĂ©cide de partir et de trouver un moyen de rĂ©cupĂ©rer mon ordi... Tout Ă  coup les lumiĂšres s’éteignent et un coup de feu retentit PAN ! La foule se dirige vers la seule porte de sortie, c’est la cohue. Je profite de cette foule pour me diriger vers le bureau du directeur.
Une fois devant le bĂątiment, je me sĂ©pare de la foule. Dans le bĂątiment, personne, aucune lumiĂšre Ă  part celle des sortis de secours. ArrivĂ©e devant le bureau, je me rends compte que la porte est ouverte. Ça tombe bien, je rentre et repĂšre mon pc portable sur le bureau. Je le prends et m’enfuit par la fenĂȘtre. A peine sortie du bureau, les volets Ă©lectriques se ferment d’un coup. Heureusement je suis sortie avant. Je vais enfin sortir de ce lycĂ©e, je range mon ordinateur dans mon sac. Mais quelque chose est bizarre, il me manque un truc. Mon bonnet ! Il a dĂ» tomber quand j'Ă©tais dans la salle de bal Ă  cause de la prĂ©cipitation ! Je dĂ©cide de m’y rendre en vitesse...
Journée 1, 1 sur 13

Jean se lĂšve Ă  6h55
Je me rĂ©veille en sursaut dans ma chambre en sueur. Je viens encore de rĂȘver d’elle, certes il n’avait aucune idĂ©e des traits de son visage mais chaque nuit je me rappelais de son odeur similaire au caramel du a son parfum de vieille dames, je me remĂ©morer sa voix douce et apaisante, je revivais en boucle nos bons moments comme la fois ou elle m’apprenait mes conjugaisons ou nos longues ballades quotidiennes au parc tous les dimanches mais ces rĂȘves se terminaient toujours la mĂȘme façon, ce souvenir
 malheureux.
Je sortis de mon lit et je cherchais ma canne Ă  tĂątons, je la pris puis je me dirigeai vers la salle de bain pour me prĂ©parer. Comme d’habitude la maison Ă©tait silencieuse seul le bruit Ă©touffĂ© de ronflement ainsi que le bruit faible des informations qui tournaient en boucle. Le chemin vers la salle de bain Ă©tait obstruĂ©e par divers emballage de nourriture qui frĂ©tillaient au contact de mes pieds ainsi que des bouteilles de biĂšres vides, les Ă©viter est devenu une habitude.
Je suppose mĂȘme que ce petit exercice amĂ©liore mes rĂ©flexes physiques, je passais devant le salon une odeur forte d’alcool venait agresser mes narines, le ronflement devenait fort j’accĂ©lĂ©rai tout en restant silencieux et en esquivant les quelques carcasses d’emballages restantes. J’atteignis enfin la salle de bain et le couloir interminable Ă©tait derriĂšre moi. J’entrais dans la salle de bain et je me prĂ©parais tout en ressassant les Ă©lĂ©ments si agrĂ©ables de mon rĂȘve.
Ayant fini de me prĂ©parer je me dirigeai toujours avec autant d’agilitĂ© dans la cuisine, pour prendre mon petit dĂ©jeuner ainsi que mon casse-croute pour le midi. Tout Ă  coup j’entendis un gros fracas venant du salon. C’était lui. Je me prĂ©parais Ă  ce moment comme si on redoutait une attaque lors de la guerre froide.
J’entendis de grands bruits de pas se rapprocher tout en faisait de plus en plus vibrer mon corps frĂȘle, puis je sentis sa prĂ©sence dans la cuisine, cette mĂȘme prĂ©sence qui m’écrasait de tout son poids depuis 5 ans, cette prĂ©sence affreuse qui remplaçait la sienne depuis 5 longues annĂ©es. Ces fameuses longues annĂ©es Ă  pleurer, Ă  prier, Ă  supplier et sa prĂ©sence Ă©crasante n’aidait pas.
D’un ton ferme il s’exprima :
« Tu me rachĂšteras des biĂšres pour ce soir celles d’hier ne suffisait pas ».
J’acquiesçai d’un hochement de tĂȘte je n’aimais pas lui rĂ©pondre surtout si cela concernait ses achats quotidiens. Je pris mes affaires et je me dirigeai vers la porte d’entrĂ©e quand il me stoppa d’un cri sec et strict :
« Et tu feras le ménage ce soir depuis que tu es arrivé ici la maison est une porcherie »

je fis le mĂȘme hochement et pris ma route pour le lycĂ©e.
ArrivĂ© au lycĂ©e depuis trois heures, je me retrouve dans la cour assis prĂšs de la sortie en attendant l’heure pour rentrer et revivre ce fameux rĂȘve, cette sensation de bonheur imperturbable. Puis d’un coup je sens une prĂ©sence se rapprocher de moi jusqu’à s’asseoir Ă  mes cĂŽtĂ©s, une odeur Ă©mane de cette personne
.
Une odeur de caramel caresse mes narines
 c’est elle. Non cela est impossible, cela doit ĂȘtre dans ma tĂȘte. Je ne fais aucun mouvement, je reste immobile Ă  profiter du parfum en pensant que cela est une coĂŻncidence, peut-ĂȘtre une autre vieille dame seule.
Au bout d’une demi-heure assis Ă  cĂŽtĂ© d’elle, la personne sort d’un long silence, s’exprime d’une voix assez familiĂšre, une voix qui ne m’est pas inconnue
« Sois courageux mon enfant »
je ne m’étais donc pas trompĂ©, mais comment est-ce possible
 je deviens fou
 La femme s’en va puis je la rattrape en courant mais sans succĂšs, je perds son odeur, le bruit de ses pas ainsi que toute trace de passage.
Je rentre chez moi, bredouille et triste, mais pas le temps de pleurer c’est l’heure de se prĂ©parĂ© pour aller au bal. Je m’habille et part vers 18h40 en bus.
J’arrive Ă  la fĂȘte vers 19H00, d’aprĂšs les autres. La salle est remplie d’élĂšves et de professeurs rappelant aux Ă©lĂšves de bien s’amuser et de ne pas faire de bĂȘtises, comme si on Ă©tait au collĂšge. Le dĂ©but de la soirĂ©e se passe plutĂŽt bien, je rencontre une nouvelle personne, elle s’appelle Estela, elle a l’air sympa.
Puis d’un coup, j’entends des cris de panique et un coup de feu.
Tout le monde veut sortir, bouchant la porte d’entrĂ©e de la salle. Alors je dĂ©cide de rester Ă  ma place et d’attendre le retour Ă  la normale.
AprĂšs la panique gĂ©nĂ©rale, je sors de la salle et je pars en direction du portail pensant qu’il est ouvert mais impossible de trouver une porte qui s’ouvre pour rejoindre la sortie.
Au bout de 5 minutes, une porte s’ouvre enfin, alors je la passe et me retrouve coincĂ© dans la piĂšce, donc je traverse la piĂšce qui est plutĂŽt longue et entends des bruits derriĂšre moi. Au fond de la piĂšce une autre porte devrait y ĂȘtre. Juste avant d’arriver, la porte claque, quelqu’un est rentrĂ©.
Mais aprĂšs que la porte s’est fermĂ©e, c’est comme si la personne rĂ©essayait de sortir, mais en vain. Alors, je commence Ă  avancer. Il remarque ma prĂ©sence et dit :
« Qui est-ce ? »
, je réponds
« C’est moi, Melvin. Ça va ? »
« Oui mais on devrait vite trouver une sortie »
C’est SĂ©bastien, le petit dĂ©linquant de la classe, mais il n’était pas comme d’habitude, au lieu d’ĂȘtre sĂ»r de lui. À ses paroles, je devine qu’il est effrayĂ©.
Alors on commence Ă  avancer quand une voix de petite fille sort des haut-parleurs :
« Sortez de la piÚce et vous serez vivants, doutez et vous serez surpris »
. Quelque chose est bizarre ; j’entends des bruits de haches, de tronçonneuse et plusieurs autres bruits en mĂȘme temps, de plus en plus terrifiants. Alors je passe, Ă  l’oreille, les grosses haches et les autres obstacles sans problĂšmes.
ArrivĂ© Ă  la fin, un nouveau bruit se fait entendre, comme des lasers s’activant juste derriĂšre moi. Heureusement, je suis passĂ© juste avant. Puis, je n’attends pas une seconde de plus pour partir de cet endroit et m’enfuir d’ici. Je file vers la salle de bal, en espĂ©rant rencontrer quelqu’un.
SĂ©bastien revient de sa sĂ©ance de sport habituelle aux alentours de 16h45. Il se lave et se prĂ©pare pour aller Ă  la soirĂ©e du lycĂ©e, il met ses plus beaux habits, costard, se fait tout beau, cheveux bien coiffĂ©e, parfum pour plaire aux filles qu’il va accoster toute la soirĂ©e. Il part vers 20h00 pour ne pas partir dans le noir.
20h50 : J’arrive Ă  la fĂȘte, accompagnĂ© de mon Ă©quipe, habillĂ©s de nos costards. PrĂȘts Ă  faire tomber sous mon charme certaines filles Ă  la soirĂ©e. Mes potes et moi, on s’incruste oĂč on veut quand on veut sans la permission de personne.
Mais au moment oĂč la fĂȘte bat son plein, vers 21H00, les lampes commencent Ă  s’éteindre, cela ne me plait pas donc je sors, simulant une pause toilette. En revenant, je me fais renverser par une foule de sorciĂšres, loup-garou et toutes autres espĂšces apeurĂ©es courant vers la sortie.
Alors, je dĂ©cide d’aller voir ce qu’il se passe en passant par les bĂątiments pour Ă©viter la foule. Je passe par derriĂšre, monte les escaliers, traverse le petit couloir, tourne Ă  droite, je vois les escaliers mais impossible d’y accĂ©der, les portes coupe-feu m’en empĂȘchent alors je continue car au bout du long couloir, je sais qu’il y a d’autres escaliers.
StupĂ©fait, je passe les portes coupe-feu qui, elles, se laissent ouvrir. Je rentre et j’atterris dans le long couloir plongĂ© dans le noir. La porte derriĂšre moi se referme avec un grand bruit pour ne plus se rouvrir malgrĂ© mes tentatives. Je n’aime pas ce genre de situation, dans le noir on ne peut jamais savoir ce qui se passe autour de soi.
Donc, au lieu de m’apitoyer sur mon sort, je choisis de trouver un moyen de sortir d’ici et de partir du lycĂ©e Soudain, j’entends des pas approcher de moi et dans un brin d’élan, je dĂ©cide de lui parler.
« Qui est-ce ? »
il me répond
« C’est moi Melvin »
Melvin, je crois qu’il est dans ma classe.
« Ça va ? »
Je lui réponds
« Oui, mais on devrait trouver une sortie.»
On commence Ă  avancer en quĂȘte d’une sortie quand tout Ă  coup, une voix de petite fille se met Ă  parler.

« Sortez de la piÚce et vous serez vivants, doutez et vous serez surpris »
Quelque chose est Ă©trange dans ce couloir, en marchant je me rends compte que des objets, comme des obstacles, nous barrent la route.
Mais le message de la petite fille me reste en tĂȘte et me donne la chair de poule. Tout autant, il faut que je sorte donc je continue, Ă©vite les obstacles avec plus ou moins de facilitĂ© et arrive presque Ă  la fin, en face de la porte donnant sur l’extĂ©rieur. Serein, je traverse le reste de couloir avec Melvin devant moi. Mais au moment oĂč tout va mieux, j’entends un bruit juste Ă  cĂŽtĂ© de moi et vois la lumiĂšre s’éteindre peu Ă  peu.

dring dring !

Le réveil sonne.

Il prend son téléphone et désactive l'alarme

il se lĂšve et s'Ă©tire

il mange, s'habille

il se lave les dents

il met ses lunettes,

puis il part en bus

dans le bus, il regarde les couleurs du lever de soleil

les cours se passent normalement.

un ami, nathan, lui demande:

« hey, gros, il y a une soirée d'halloween au lycée.

t'as reçu une invitation ? »

« je sais pas. je vais voir plus tard » réponds-t-il à son ami.

À 16h, il termine les cours

et il rentre chez lui en bus

Une fois arrivé, il s'apperçoit que, effectivement, il a reçu une invitation

il choisit son déguisement en fouillant dans la vieille armoire de sa chambre,

il se prépare

et joue à un jeu vidéo en attendant de partir

il part alors que le soleil commence Ă  se coucher

Finalement, il va à la soirée avec son déguisement terrifiant.
Il va voir tous ses amis et il fait peur aux gens qu’il connait ou pas dĂšs que l’occasion s’offre Ă  lui. Tout le monde s’amuse, il se dit qu’il a bien fait de venir ce soir. Au cas oĂč, il a ramenĂ© son sac avec son matĂ©riel et son dernier dessin encore inachevĂ©. Mais il ne servira Ă  rien.
Il passe toute la soirĂ©e Ă  faire peur et Ă  s’amuser sur la piste de danse.
Mais Ă  force, il dĂ©cide d’enlever ses gants et sa cagoule car il fait trop chaud. Alors il se dirige vers son sac, au fond de la salle, et range les parties qu’il a enlevĂ©es de son dĂ©guisement.
Soudain, les lumiĂšres commencent Ă  dysfonctionner et tout le monde autour de lui panique et se dirige vers la sortie principale. Malin, il se souvient d’une porte de secours cachĂ©e derriĂšre les dĂ©cors et l’emprunte discrĂštement. Cette porte donne sur des escaliers.
Il les monte et se retrouve au deuxiĂšme Ă©tage.
L’étage des salles d’arts pour les STD2A.
Il connait bien cet étage mais quand il fait jour, pas dans le noir sans possibilité de voir.
Il ne se laisse pas abattre et trouve une porte, peut-ĂȘtre une sortie, se dit-il.
Il rentre par la porte et se rend compte, grĂące Ă  la lumiĂšre qui sort d’entre les rideaux, que ce n’est pas une sortie mais une petite salle de dessin oĂč il n’est encore jamais allĂ©. Du coup, il dĂ©cide de revenir sur ses pas mais lorsqu’il veut ouvrir la porte, il n’y arrive pas.
Aucun moyen, il n’y a qu’un accordĂ©on. Soudain, une voix de petite fille fait son apparition dans la petite salle et dit
« Tu veux rester vivant ? alors tu sais ce qu’il te reste Ă  faire. Bonne chance ».
Ce qui me reste à faire
 ? se questionne-t-il.
Devant le bel accordéon il y a une partition.
Il la connait, cette partition c’est celle qu’il n’arrivait pas Ă  terminer. Sur cette partition, il y a un mot dessus avec Ă©crit
« je te laisse 3 chances »
Il a compris, sa vie dépend sûrement de la réussite de cette partition.
Pas le choix, pour sortir, il faut qu’il rĂ©ussisse.
Alors il commence et il se trompe. Soudain, on entend par les haut-parleurs
« chance 1, ratée »
Il doit se concentrer d'avantage et arrive à ne pas refaire l’erreur qu'il a fait.
Arrivé presque à la fin de la partition, Charlie fait une erreur
« Il te reste 1 chance »
Stressé, il se calme et prend son temps pour bien relire la partition.
Il prend l’instrument et joue, sans mĂȘme regarder la partition, et enfin il y arrive.
Les rideaux s’ouvrent et la porte se dĂ©bloque.
Apeuré et heureux, il retourne sur ses pas, direction la salle de bal.
En rentrant chez elle un soir, elle aperçoit une petite lettre dĂ©passant de sa boite aux lettres, bien que ça ne l’intĂ©resse pas plus que ça, elle attrape celle-ci et l’observe attentivement avant de l’ouvrir. Elle y dĂ©couvre une invitation pour une fĂȘte au lycĂ©e, intriguĂ©e, elle note la date ainsi que l’heure et le lieu, espĂ©rant que ça lui servira puis elle rentre et s’enferme dans sa chambre.
La soirĂ©e approche, Camille sait qu’elle doit y aller, mais aucun costume ou dĂ©guisement ne lui parait bien, elle dĂ©teste ça, se dĂ©guiser est une honte. N’aimant pas se montrer en public habillĂ©e de vĂȘtements trop dĂ©calĂ©s, elle opte, pour ĂȘtre accordĂ©e Ă  ses goĂ»ts habituels, pour une simple robe de soirĂ©e noire qui lui permettrait d’ĂȘtre plus Ă  l’aise en compagnie des personnes prĂ©sentes. Elle rĂ©ussit Ă  l’ajuster avec les moyens du bord et grĂące Ă  l’aide de sa tante qui travaille dans une blanchisserie de la ville.
La fĂȘte approche Ă  grands pas; quand la jeune femme sort de sa chambre, habillĂ©e de sa robe noire, sa tante la complimente sur ses choix, elle est fiĂšre que la petite
turbulente
qu’elle Ă©tait quand elle et son mari l’avaient rĂ©cupĂ©rĂ©e il y a quelques annĂ©es, sorte enfin voir d’autres personnes, surtout pour une fĂȘte aussi importante qu’Halloween.
Elle prend le bus en direction du lycĂ©e vers 19 heures 45, c’est la premiĂšre fois que Camille angoisse pour une chose aussi basique qu’une soirĂ©e, elle descend Ă  son arrĂȘte et commence Ă  se diriger vers l’entrĂ©e du bĂątiment. AprĂšs quelques exercices de respiration, elle entre dans la salle de la soirĂ©e, sans saluer qui que ce soit, personne ne la remarque, il faut dire que Camille n’a pas vraiment d’amis, uniquement des connaissances. La fille s’assoit alors dans un coin avec une boisson, observant et critiquant les autres dans sa tĂȘte.
Un tir explose dans la piĂšce, Camille se bouche les oreilles et hurle sur le coup, elle
s'Ă©chappe de la salle et se rĂ©fugie dans un placard, quand tout Ă  coup les lumiĂšres emplissent la piĂšce de leur chaleur, dĂ©voilant une grande salle entourĂ©e de vitres qui ne ressemblent qu’à des miroirs. Camille ne pensait pas qu’une telle piĂšce puisse exister dans un lycĂ©e.
Elle reprend sa respiration quand une forte odeur animale emplit ses narines, elle pose son regard vers le sol et dĂ©couvre, des chats, chiens, hamsters ou mĂȘme des souris qui courent dans la piĂšce, paniquĂ©s.
Une voix enfantine ressemblant Ă  une petite fille rieuse sort d’un haut-parleur collĂ© au plafond : « Salut toi ! On va jouer Ă  un jeu, une clĂ© est accrochĂ©e Ă  l’un des colliers des animaux, trouves-la et tu sortiras. Attention, tu n’as que 30 minutes pour la trouver ! Sinon tu resteras ici asphyxiĂ©e par un petit gaz, bonne chance ! »
Le cƓur de Camille se serre et elle se met Ă  trembler en entendent la consigne. Elle se pose plein de questions, panique mais elle court vers les animaux, malgrĂ© son allergie envers eux, pour trouver la clĂ© et sortir le plus rapidement d’ici.
Elle attrape en premier un lapin, elle le
retourne
rapidement mais aucune clé. Ensuite un chat, puis un deuxiÚme et aprÚs un chien. Camille commence à éternuer et se gratte à la nuque.
Au bout d’une dizaine de minutes, elle commence Ă  ĂȘtre Ă©puisĂ©e de courir entre tous ces animaux, les retourner pour trouver cette clĂ©, sans prouesse, emplissant Camille d’une rage contre la personne qui avait organisĂ© ce jeu. Elle reprend ses esprits, cherche un tissu pour se couvrir le visage car elle Ă©ternue sans arrĂȘt, pour continuer sa rude Ă©preuve au milieu de ces animaux.
Cela fait dĂ©jĂ  20 minutes, et toujours aucune clĂ© en vue, la jeune Camille rampe quasiment au sol, couverte de plaques de boutons, elle a fait le tour de tous les animaux de la piĂšce, en vain. La haine qu’elle Ă©prouve ne s’exprime pas, elle a un mal terrible Ă  bouger.
C’est alors que, sortie de nulle part, une petite souris traverse la piĂšce, avec difficultĂ© car une clĂ© s’y trouve accrochĂ©e ! Camille s’élance sur celle-ci et arrache la clĂ© de son collier. Toute Ă©mue, elle court vers la porte et l’ouvre sans regarder derriĂšre elle. 27 minutes s’étaient Ă©coulĂ©es.
Une journĂ©e d’halloween comme les autres va prendre une tournure un peu spĂ©ciale pour Lauran. En effet, celui-ci sombre dans l’alcoolĂ©mie suite au divorce de sa femme et Ă  la perte de la garde de ses enfants, car sa femme l’a trompĂ© lorsqu’il Ă©tait dans les forces spĂ©ciales, c’est pour cela qu’il est devenu ce genre de personne. Afin d’oublier sa peine, celui-ci s’est rĂ©fugiĂ© dans l’alcool.
Jusqu’au jour oĂč, en allant au lycĂ©e, il aperçoit une jeune demoiselle qui est une lycĂ©enne de 17 ans, il ne sait pas pourquoi mais son regard est constamment attirĂ© vers cette jolie fille. En allant dans sa classe, il croise la jeune fille dans les couloirs. BourrĂ©, le prof commence Ă  lui faire des avances mais celle-ci refuse, l’homme reprend ses esprits et part rejoindre sa classe.
Lauran se sent mal de ce qu’il vient de se passer, du coup il essaie de rattraper le coup en lui proposant ses excuses. Il entend des rumeurs comme quoi il y aurait une soirĂ©e au lycĂ©e sur les coups de 19h. La soirĂ©e arrive, l’homme s’est mis sur son 31 pour essayer d'obtenir les excuses de la jeune fille ou l’éventualitĂ© de la sĂ©duire.
La soirĂ©e passe, il y a Ă©normĂ©ment de monde et les chances de l’approcher deviennent de plus en plus minces mais il ne perd pas espoir, il cherche cette jeune fille dans toute la salle de soirĂ©e quand soudain il la voit au loin, assise sur une chaise. L’homme s’approche doucement, petit Ă  petit
.. la lumiĂšre s’éteint. On retrouve le corps du prof allongĂ© au sol.
Le rĂ©veil sonne Ă  6 heures, la routine commence. John est impatient Ă  l’idĂ©e d’aller Ă  la fĂȘte du lycĂ©e afin de tenter de se faire un ami.
La journĂ©e commence par un petit-dĂ©jeuner classique : des cĂ©rĂ©ales et du jus d’orange. AprĂšs son petit-dĂ©jeuner, il se dirige vers sa chambre pour choisir une tenue. Malheureusement, vu que c’est la premiĂšre fĂȘte Ă  laquelle il est invitĂ©, il n’a pas la tenue adĂ©quate. Ni une ni deux mais trois, il se prĂ©cipite au magasin pour chercher un smoking. Quelques heures plus tard, John trouve la tenue parfaite. Il s’empresse d’aller chez lui pour se vĂȘtir de son magnifique costume de soirĂ©e. Il dĂ©cide de faire une sieste pour ĂȘtre en forme pour la soirĂ©e. Plus tard dans la soirĂ©e, John se rĂ©veille et se prĂ©pare pour la fĂȘte. Il se change, se coiffe, se brosse les dents, se parfume et se dirige au salon pour dire au revoir Ă  ses parents et prend l'invitation avant de partir.
Il arrive devant le lycĂ©e, l’invitation dans la poche, vers 20h40.Il rejoint la salle de la soirĂ©e. Ce soir il s’est promis de s’amuser et pourquoi pas essayer de se faire des amis. Plein de gens sont venus tout seuls, pourquoi ne pas essayer de leur parler et mĂȘme passer la soirĂ©e avec eux. Alors il se dirige vers une fille de sa classe mais elle est dĂ©jĂ  avec quelqu’un, elle qui d’habitude est toute seule au fond de la classe. Quand tout Ă  coup, les lumiĂšres s’éteignent et un bruit de fond se fait entendre comme un coup de feu. PaniquĂ© il fait tout pour sortir de lĂ , impossible les Ă©lĂšves bouchent la sortie. Une fois dehors, il se dirige vers le portail mais il est fermĂ©. On ne peut pas sortir par lĂ . Le seul moyen auquel il pense est de passer par les bĂątiments pour trouver un moyen de sortir.
Il rentre dans un bĂątiment traverse et trouve une porte qui,il l'espĂšre, donne un moyen de s’échapper. Il passe la porte et se rend compte que ce n’est pas ce qu'il pensait. Il atterrit dans une salle plongĂ©e dans le noir. Il pense qu’il vaut mieux ne pas tarder ici. Ainsi il revient sur ses pas et cherche la porte par laquelle il est rentrĂ©. Seulement il ne trouve pas la porte comme si elle avait disparu. Il se dĂ©place vers la gauche, le seul endroit oĂč il n’a pas fouillĂ©. Quand d’un coup il sent comme des lames dans son dos et reçoit un coup dans la tĂȘte.
Une fois tout le monde dans la salle, sains et saufs, Crystale rĂ©cupĂšre son bonnet et tout le monde se retrouve, rassurĂ© de ne pas ĂȘtre tout seul. Puis Melvin prend la parole :
« On devrait sortir d’ici, cet endroit est dangereux ! »
« T’as raison, il faudrait trouver un moyen »

dit Camille. Ils partent de la salle et cherchent un moyen de s’enfuir. Toutes les portes et portails sont impossibles d'accùs car un mur les cache, donc aucune issue possible.
« Il faut trouver un moyen de passer le mur »
annonce Crystale. Ils dĂ©cident de se sĂ©parer en deux groupes pour pouvoir fouiller de nouveau chaque coin de l’école et surtout les bĂątiments qui n’ont pas Ă©tĂ© vus.
Camille, Melvin et Estela partent d’un cĂŽtĂ©, Charlie et Crystale de l’autre. Le premier groupe fouille dans la salle polyvalente, salle Poitrault et l’administration et le deuxiĂšme dans les bĂątiments de cours. Du cĂŽtĂ© des bĂątiments, aucune sortie.
Salle polyvalente et salle Poitrault non plus. Plus qu’un endroit l’Administration. Chaque piĂšce est fouillĂ©e sauf celle du bureau du proviseur qui est impossible Ă  ouvrir. ArrivĂ©s Ă  une salle ils trouvent enfin une sortie mais faux espoir le mur est encore lĂ , devant eux.
Alors ils continuent la recherche pour rester en vie. ArrivĂ©s Ă  la derniĂšre piĂšce, tout le monde se retrouve et ouvre la porte. Une sortie, pas d’excitation, le coup de tout Ă  l’heure peut se reproduire.
Lorsqu’ils passent la porte on voit sur leurs visages un sourire se dessiner. Enfin libres, ce cauchemar est derriĂšre eux. Heureux de sortir tous courent de joie vers la sortie grande ouverte, sans penser Ă  ce qu'il s’est passĂ© et qui a fait cela.
Mais une question se pose encore, qui a fait ça ?